La surface et l’ombre
La vie du matin s’étendait lentement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la limpidité qui guidait les mouvements. Le macrocosme y vibrait en empruntant une autre voie, via les reliefs, les textures et les sons ténus du calme. Dès les premières heures du jour, les appels commençaient à bien affluer